Comment gérer les mouvements transfrontières des moustiques à impulsion génétique ?
Un comité des Académies nationales des sciences, de l’ingénierie et de médecine (États-Unis), une organisation indépendante à but non lucratif chargée de fournir des conseils objectifs pour éclairer l’élaboration des politiques, s’est penché sur cette question. Dans un rapport de 2016, il a défini trois niveaux de parties prenantes à impliquer dans la discussion : les « communautés » de personnes qui vivent sur le site d’essai potentiel ou à proximité ; les « parties prenantes » qui vivent ailleurs mais qui ont des intérêts professionnels ou personnels directs dans l’utilisation de la technologie ; et les « publics » qui n’ont pas de lien direct mais dont les opinions peuvent éclairer la prise de décision démocratique. L’OMS a récemment défini une stratégie d’engagement éthique pour l’évaluation de moustiques génétiquement modifiés, y compris les moustiques à impulsion génétique en tant qu’outils de santé publique. Cette stratégie reconnaît que les obligations éthiques à l’égard de chacun de ces groupes diffèrent et que, par conséquent, les exigences prévues en matière d’engagement seront également différentes. Les activités d’engagement appropriées varieront également en fonction des différentes étapes de l’évaluation.
Pour plus d’informations :
https://nap.nationalacademies.org/catalog/23405/gene-drives-on-the-horizon-advancing-science-nav igating-uncertainty-and
https://www.who.int/publications/i/item/9789240025233 https://www.youtube.com/watch?v=71VYXRoz_4k https://genedrivenetwork.org/videos#mxYouTubeRca593b85386c88963051a7d9307938e5-4
Leave a Reply
You must be logged in to post a comment.